
Depuis quelques temps, je passe plus fréquemment du temps à mes recherches généalogiques. C’est certainement dû à la pandémie du covid19 et au confinement associé. Cette activité quasi quotidienne maintenant, est mangeuse de temps. En effet, comme une addiction, quand on démarre, il est difficile de s’arrêter. Pour varier les actions et pour ne pas succomber quelquefois au découragement, les activités sont diverses et sont choisies fréquemment un peu par hasard. Récits de situations au cours d’un mois de recherches actives.
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Si le nombre de visiteurs des pages du challenge AZ est globalement presque le double des autres années (passage d’une moyenne à 50 à une moyenne de 95), c’est le jour de parution qui voit la plupart des lecteurs des articles. Les autres jours, le nombre est quasiment dérisoire (toujours inférieure à 10 et le plus fréquemment, c’est zéro comme aucun visiteur). Je ne m’attendais pas à autant le premier jour et je ne suis guère surpris par la fréquentation des jours suivants. Le challengeAZ est un (...)
Les articles ont presque tous été rédigés au jour le jour (un a été écrit la veille au soir et le dernier a été écrit deux jour plus tôt). Ce flux tendu m’a apporté un peu de stress (pas trop) mais j’ai sans doute passé moins de temps à cette participation que les autres années. Je n’ai guère tenté d’anticiper alors que j’anticipais beaucoup. Je n’ai pas beaucoup ré-écris alors que je le faisais souvent. Le hasard avait avait une très grande place alors qu’il était quasiment absent (au moins pendant le challenge). (...)
Il n’y a pas si longtemps nos ancêtres ne se déplaçaient guère. Il est alors possible de définir approximativement une zone dans laquelle toute leur vie s’est déroulée. De l’approximation en matière de lieux comme on fait si facilement en manière de date...
Qui ?
La zone de déplacement (celle qu’on pourrait qualifier de moyenne) de nos ancêtres s’est considérablement élargie depuis la deuxième moitié du XXème siècle surtout. Jusqu’au XIXème, nos ancêtres se déplaçaient peu pour leur vie quotidienne. (...)
yono40, c’est le pseudo choisi par Chantal LASFARGUES pour son arbre généalogique en ligne chez geneanet.org. C’est aussi l’arbre généalogique en ligne que je "pompe" le plus. A la rédaction de l’article, ce ne sont pas moins de 871 personnes répertoriées dans mon arbre dont au moins une donnée provient de cet arbre généalogique en ligne. Cet article est donc comme une forme de remerciement...
Qui ?
Ben... Yono40 ou Chantal Lasfargues est une généalogiste lotoise qui publie son arbre sur geneanet.org. (...)
Un généalogiste peut-il être xénophobe ? L’accessibilité pour le grand public des analyses ADN inciterait à répondre non tant les exemples sont fréquents de contradictions flagrantes entre le passé de l’individu (sens péjoratif) et ses hasardeuses convictions.
Qui ?
Le dictionnaire le Robert décrit la xénophobie comme une "hostilité à ce qui est étranger". Généralement, on pense plutôt à l’hostilité envers une ou plusieurs personnes considérées comme étrangères. Il est difficile de concevoir un généalogiste (...)
Le webinaire (webinar en anglais) est un séminaire via le web, en définition basique. Il va au-delà de la visio-conférence puisqu’il devrait être, par essence, "re-consultable" après la visio-conférence et pouvoir servir de référence.
Qui ?
Ceux qui découvrent les webinaires en sont d’abord fans. Peut-être parce qu’on peut reprendre la vidéo plus tard pour mieux comprendre une explication ou mieux intégrer une nouvelle notion... Peut-être parce que c’est réaliser "en live" et qu’il y a possibilité (...)
Toutes les informations n’ont pas la même validité. Il y a des sources plutôt fiables et d’autres beaucoup moins. Il ne faut jamais négliger cet aspect dans nos recherches parce que la généalogie est très loin d’être une science exacte. Est-ce une science d’ailleurs ?
Qui ?
Le généalogiste est souvent confronté à des données contradictoires ou qui posent un problème, surtout depuis que le nombre d’internautes réalisant leur arbre généalogique a explosé. La question se pose alors de la validité des (...)
Il aurait peut-être été plus facile de choisir "union" ou "utérin" pour cette lettre quand on parle de généalogie. Mais, les recherches sont de plus en plus souvent informatisées (ou numérisées ou digitalisées) et se pose alors le problème de la sauvegarde parce qu’il va falloir télécharger et que le upload (mot anglais signifiant téléchargement) n’est pas évident pour tout le monde.
Qui ?
On est tous amené un jour à réaliser un téléchargement souvent désigné par le terme anglais upload. Peut être est-ce (...)
Faut-il s’intéresser aux témoins ? Est-ce d’une grande utilité dans nos recherches généalogiques ?
Qui ?
J’ai négligé les témoins au tout début de mes recherches parce que, la plupart du temps, ils n’étaient pas du tout évident qu’ils soient apparentés à mes ancêtres. Je ne voyais donc pas du tout l’intérêt de les enregistrer ou, à tout le moins de les noter. Avec le temps, j’ai découvert qu’ils pouvaient être très utiles en cas de blocage bien qu’on ne puisse jamais savoir quand viendra ce temps.
Quoi ? (...)
les adverbes (ou locutions adverbiales) "sûrement", "certainement", "sans doute", "probablement", "à coup sûr"... devraient être bannies de toutes recherches qui se voudraient scientifique. La généalogie étant très loin d’être une science exacte, peut-on utiliser ces mots ? Vont-ils permettre d’avancer dans l’exploration du passé ?
Qui ?
Quand on fait des recherches généalogiques, on a vite des incertitudes, des doutes, des remises en cause à propos de nos ancêtres. Les généalogistes peuvent donc être (...)
