Il n’y a que quinze jours, tu souriais encore à la vie en offrant ta générosité aux plus déshérités. Tu aimais la fête et chérissait la famille par-dessus tout. Tu savais partager au noble sens du terme. Fidèle en amitié, amoureux du travail bien fait, tu méprisais l’incompétence mais tes coups de gueule cachaient mal ton cœur d’or. Oui, je sais, même un coeur d’or, c’est fragile.
Généreux, humble et respectueux, tu donnais sans compter, tu offrais sans réfléchir, tu étais simplement toi et tu existais. Avec (...)