- Si on m’avait dit que la généalogie prenait tant de temps, je n’aurai peut-être pas commencé.
- Si on m’avait dit que la généalogie était aussi addictive, aurais-je découvert qu’elle était surtout passionnante ?
- Si on m’avait dit que la généalogie, ça n’est jamais fini, le perfectionniste que j’étais aurait sûrement fait autre chose.
- Si on m’avait dit que j’aurais sûrement besoin de re-consulter mes sources d’informations pour vérifier, pour compléter, pour corriger, pour infirmer, pour... je n’aurai pas négligé à mes débuts de noter ces sources le plus explicitement possible.
- Si on m’avait dit que chercher uniquement ses ancêtres était à la fois source d’erreurs difficiles à détecter et source d’informations très riche (et pas seulement en recoupements), j’aurai pu davantage interroger les personnes qui ont quitté notre monde de vivants. Sophie Boudarel appelle ça "L’erreur à ne pas commettre en généalogie"
- Si on m’avait dit qu’un site web (ou un blog), ça a si peu de lecteurs, me serai-je lancer dans cette aventure, il y a plus de vingt ans ? Mais je n’ai aucun regret...
- Si on m’avait dit qu’un jour, je participerai au challengeAZ, je me serai bien demandé ce que ça pouvait être.
- Si on m’avait dit que le challengeAZ durerait plus de dix ans, me serais-je lancé dans cette aventure ?
- Si on m’avait dit...
Si on m’avait dit qu’un jour je devrais me signer un mot pour m’autoriser à sortir de chez moi ! P... de covid.