Chercher, fouiller, déduire, être logique... et des outils bien utiles.
L’évènement généalogique le plus marquant n’est pas issu de mes recherches généalogiques mais de ma très vielle passion pour les technologies numériques.
J’ai envoyé un message, comme une "bouteille à la mer", via le site qui m’a permis de trouver cette personne.
Mes documents généalogiques, ce sont les “fameuses†sources mais je préfère utiliser le terme “documents†beaucoup plus générique et signifiant à mes yeux
Les sources généalogiques alimentent les rivières que sont les lignées patronymiques
Tout généalogiste finit un jour par rencontrer ce qu’autrefois on appelait une "fille mère" ou une "mère célibataire" ou un "père inconnu" quand ce n’est pas un "enfant trouvé" ou un "enfant de l’hospice". Là c’est l’angoisse pour un généalogiste. Je crois que peu nombreux sont ceux qui parviennent à franchir cet obstacle. Je fais partie de ceux qui piétinent et sont bloqués pour le développement d’une branche.
Et il se trouve que j’ai plusieurs cas : deux ancêtres de mon épouse se sont mariés mais sont (...)
C’est bien de la ville allemande, Ulm, dont il est question ici. Quel rapport généalogique avec ma famille si fortement ancrée dans les dures terres du causse lotois ? Simplement que la généalogie mène à tout et quelquefois permet de découvrir ou de révéler un secret de famille. Et oui, mon oncle paternel , ce parisien si bizarre avait un secret. Non, ce n’est pas celui de se ranger parmi les auvergnats de Paris. Et c’est en le levant qu’une cousine germaine naquit dans cette grande ville allemande (...)
ransférer ses données est la première chose que tout généalogiste un peu informaticien et un tant soit peu “partageux†aura envie de faire, aura besoin de faire. Et, au début, c’est un vrai casse-tête. Surtout si les fichiers informatiques et leur codification ne sont pas familiers (et c’est généralement le cas). Quand, même l’informatique n’est pas encore familière, le chemin reste encore long à parcourir avant de ne plus se contenter d’utiliser des “recettes †toutes faites et les procédures (...)
Et dire qu’il n’y avait que les prénoms avant l’invention des patronymes ! Connaissez-vous l’histoire des prénoms ? En France, ils apparurent vers le XIIème siècle et les premiers prénoms “officiels†furent alors le nom de baptême du saint du jour de naissance.
Je ne vais pas refaire ici une énième histoire des prénoms. Pour ceux que cela intéresserait, je recommanderai deux sites parmi ceux que j’ai visités : Histoire des prénoms, par exemple, serait fêté le 16 janvier (alors que c’est le 15 (...)
Peut-être ne connaissez-vous pas cette combinaison de touches… ? Peut-être utilisez-vous Hérédis et ne savez-vous même pas qu’elles existent ! Dans ce logiciel, elle sert à qualifier de “personnage secondaire†des individus qui n’apparaîtront donc plus dans votre arbre public. Comme s’il y avait des individus sans importance dans une généalogie ! peut-être pour le collectionneur d’ancêtres ? Et encore.
Je n’utilise pas Hérédis pour plusieurs motifs dont celui-là (le principal motif étant qu’il est (...)
Ah ce “J’aime†sur les pages Facebook… Pour moi, cette expression est le symbole des réseaux sociaux. Pourtant je ne l’utilise quasiment jamais ! Au fait sont-ils utiles en généalogie les réseaux sociaux ?
Il va bien falloir me répondre “oui†sinon je vais avoir du travail d’effaçage ne perspective. J’ai donc un compte Facebook mais j’ai aussi un compte twitter, un compte chez les “Copains d’avant†, un compte linkledin, … Et puis, il y a toutes ces annexes (ou applications comme vous voudrez). (...)
