Chercher, fouiller, déduire, être logique... et des outils bien utiles.
La généalogie est devenue une histoire de numéro. Si, si. Je ne parle pas ici de numéralogie mais bien de numérotation. Et comme beaucoup de généalogistes, je rédige mon propre article sur la numérotation ! Certainement parce que écrire est le meilleur moyen de comprendre et d’intégrer nos découvertes.
C’est la norme gedcom qui a lancé le processus : chaque personne (baptisée individu d’où l’expression “numéro indi†) comme chaque famille ou chaque source se voit affecter d’un n° de référence. Lorsqu’un (...)
Un titre bien ronflant pour des outils fabriqués maison et donc qui apparaîtront plutôt modestes à quelques-uns. Ils sont perfectibles bien sûr. Ils me rendent service donc ils sont susceptibles d’être utiles à d’autres. C’est seulement cette dernière remarque qui justifie la publication du présent article.
Avec l’augmentation quasi exponentielle des informations recueillies dans mes recherches généalogiques, il a bien fallu que je me rende à l’évidence : mon système de classement des documents et mon (...)
J’ai déjà raconté quelques-unes de ces situations généalogiques qui posent des problèmes. Qu’on les appelle imbroglio, épine, énigme, problème ou … cela reste des cas d’école riches d’enseignement bien souvent quand ces problèmes sont résolus mais qui apportent aussi tout un lot de soucis et d’inquiétudes pendant les recherches de solution ou de compréhension. On peut ainsi relire : Imbroglio généalogique Une énigme généalogique résolue. Quand l’homonymie entraîne une erreur... Problème de (...)
Fonctionnalités indispensables, nécessaires, utiles, facultatives, inutiles, sans intérêt...
Ne croyez pas que je vais expliquer ici les différentes fonctionnalités des logiciels qui existent sur le marché : certains s’y sont attelés et ont fait beaucoup mieux que je saurai faire. Je ne vais aborder que les deux fonctionnalités principales que j’utilise : l’organisation des données généalogiques et la publication de l’arbre généalogique en résultant. Pour le reste, voyez ailleurs (et bien mieux). (...)
Ceci est un engagement : Je promets de tout faire pour ne plus oublier de citer mes sources.
Ce n’est pas un simple serment d’ivrogne. Ce n’est pas non plus seulement parce que les "découvreurs" et "publieurs" des informations utiles à mes recherches généalogiques méritent à tout le moins d’être cités : c’est un minimum de respect. "Citer l’origine (les fameuses sources) des informations recueillies" devrait faire partie de l’éthique de tous les généalogistes qui publient sur la toile Internet.
Au tout (...)
Disons-le tout net : je revendique haut et fort le droit d’être inorganisé. Et oui, je travaille à l’affectif, aux sentiments et au gré des vents du hasard, de l’incertitude et des envies passagères ou durables. Je n’irai peut-être pas loin mais j’avance à mon rythme et je vais où je veux mais surtout où je peux. Mon organisation/inorganisation relève donc davantage d’une vague anarcho-généalogique que d’une structuration rationnelle, efficace, justifiée comme l’est ou devrait l’être celle d’un (...)
Cet article aurait tout aussi bien pu s’appeler "G comme Geek et Généalogie" ou "G comme généalogeek"
Auto-promotion parce que "charité bien ordonnée commence par soi-même". Mon blog de généalogie (en cours d’abandon...) Mon site personnel de recherches généalogiques Mon arbre sur Heredis On Line : pas du tout à jour et de moins en moins utilisé : sans doute vais-je prochainement le supprimer... => c’est fait. Mon compte Facebook (pas seulement réservé à la généalogie) La page Facebook (...)
C’est une question qui m’est fréquemment posée… et il m’arrive assez souvent de me la poser. J’ai toujours beaucoup de mal à y répondre. Peut-être qu’écrire une réponse éventuelle me permetrait d’y voir plus clair ? Pourquoi alors ne pas la publier sur mon blog ? Après tout, cela ne ferait qu’un article insignifiant de plus sur ce sujet…
Et oui, je pensais à priori que beaucoup de ceux qui publient leur généalogie sur la toile Internet ou tiennent un blog de généalogie se poser cette question si peu (...)
Genèse d’une passion ou d’un simple passe-temps addictif comme tous les hobbys finissent par l’être ?
Cela fait donc au moins dix ans que je me suis fait happé par la généalogie. C’est un dragon, une addiction, une drogue. Un dragon qui te happe et te provoque sans cesse ; une addiction qui envahit mes pensées et me détourne bien trop facilement des tâches non urgentes ; une drogue qui devient vite, trop vite, indispensable et occupe sans cesse les pensées.
Dix ans que je cherche, recherche, corrige, tente de comprendre, m’informe, échange, passe d’une énigme à une épine, m’interroge, fouille, (...)
