La généalogie au quotidien (8ème participation)
Depuis quelques temps, je passe plus fréquemment du temps à mes recherches généalogiques. C’est certainement dû à la pandémie du covid19 et au confinement associé. Cette activité quasi quotidienne maintenant, est mangeuse de temps. En effet, comme une addiction, quand on démarre, il est difficile de s’arrêter. Pour varier les actions et pour ne pas succomber quelquefois au découragement, les activités sont diverses et sont choisies fréquemment un peu par hasard. Récits de situations au cours d’un mois de recherches actives.
Allons-y / Blog / ChallengeAZ / Demain / État d’âme / Famille / Géographie / Histoire / INSEE / Je / Koreaceratops / Lire / Métier(s) / "No life" / Organisation / Projet Partagé / Quotidiennement / Recensement / Sûrement ou Sans doute / Témoin / Upload / Validité / Webinaire / Xénophobie / Yono40 / Zone
Pourquoi partager ses données ? Au delà de l’arbre généalogique, peut-on avoir d’autres projets à l’intérieur de nos recherches généalogiques ? (Poser la question, c’est déjà presque répondre par l’affirmative).
Qui ?
Les généalogistes sont, pour le plus grand nombre des gens "partageurs" : ils mettent leurs données en ligne et les autres peuvent les utiliser.
Pour partager davantage, ils sont nombreux à mettre en place des projets en parallèle à leur arbre généalogique : généalogies d’un village, index de (...)
Le but n’est pas, ici, d’approcher les organisations gouvernementales ou non mais l’organisation personnelle autour des recherches généalogiques. Je suis pour la liberté de recherches, pour une organisation apparemment anarchique mais cela ne signifie pas qu’il n’y a pas une organisation ! Et puis, sans organisation peut-on vraiment avancer ?
Qui ?
Le généalogiste est un être organisé mais qui se complet dans ce qui ressemble à une jolie pagaille où se côtoie le coq et l’âne, la procrastination, la (...)
Le titre aurait pu être une question : "Y a-t-il une vie au-delà de la généalogie ?" On est en droit de se la poser quand on constate à quel point, ce loisir est à la fois mangeur de temps et addictif.
Qui ?
Le généalogiste est divers et variable. Il pratique une activité de loisir ou un métier/profession mais, maintenant, certains tentent de classer la généalogie parmi les sciences. La généalogie est-elle une science ? Je ne sais. Pour tout généalogiste, mener l’enquête à travers les documents (...)
En généalogie, on parle un peu des "métiers" qu’on cache sous le terme de "professions". Et la généalogie peut-elle être un métier ? Oui vont répondre les généalogistes professionnels et ceux qui font (ou ont fait) les études pour améliorer les compétences spécifiques de cette pratique. Il reste que le métier de nos ancêtres nous donne de précieuses informations sur le mode de vie à leur époque et nous fait quelquefois rêver avec certains métiers disparus (réveilleur, rémouleur, allumeur de réverbère, (...)
Chacun sait que la généalogie ce n’est pas "collectionner les ancêtres". C’est aussi dépasser ce simple inventaire pour tenter d’appréhender la vie quotidienne de ceux qui ont fait que nous en sommes là aujourd’hui. Par nécessité, cela amène a lire beaucoup pour se documenter mais aussi par curiosité avec toutes les pistes qui s’ouvrent devant nous. Mais, là, surgit un nouveau problème : "Comment conserver une trace de ces lectures ?". Si avec l’utilisation du livre (dire qu’on est obligé de préciser "livre (...)
Le koreaceratops est un dinosaure qui vivait sur Terre il y a environ cent millions d’années. L’être humain n’existait pas alors. Sans remonter si loin, jusqu’où pouvons-nous aller dans nos recherches généalogiques pour rester crédibles ?
Qui ?
Peut-être que ce koreaceratops est l’un de nos ancêtres... Qui sait ?
Quoi ?
Certains remontent si loin que c’en est douteux. Si, dans le cas d’une famille de haute noblesse, cela peut s’expliquer par la tenue, à l’époque, des liens familiaux, il devient (...)
"Je", c’est moi. Je suis mon ego. C’est moi qui parle, c’est moi qui pourrais être le centre. La généalogie serait-elle égocentrique ? Ou narcissique ? Je ne sais pas mais je ne suis pas à l’origine (ne pas se tromper d’origine) de l’arbre généalogique que je reconstitue mais je suis à l’origine de ce vaste chantier qui ne sera jamais vraiment terminé.. Ce sont les MaLiBeLe, ceux que l’on appelle les sosa n°1. Et les MaLiBeLe, ce sont mes petits enfants.
Qui ?
Moi. Mais si je recherche aussi mes ancêtres, (...)
L’INSEE, tout le monde connaît. Plus ou moins. L’INSEE, c’est l’Institut National de la Statistique et des Études Économiques. Pour le généalogiste, ce sont les recensements même si beaucoup ne savent pas que c’est cet organisme qui les gèrent maintenant. Depuis quelques temps, l’INSEE publie aussi mensuellement les fichiers des décès reçus par l’institut. Et nombreux sont les organismes qui proposent maintenant d’accéder à ces données comme geneanet.org et filae.com pour n’en citer que deux !
Qui ? (...)
Histoire (la grande) et histoires (les petites) jalonnent la vie de nos ancêtres. Si la grande est facile à reconstituer, les petites font fréquemment appel à l’imagination.
Qui ?
Chacun à une histoire. Pour la plupart d’entre nous comme pour nos ancêtres, cette histoire personnelle n’est qu’une petite histoire jalonnée par la "grande histoire", celle qui ne concerne plus les individus mais les peuples ou à tout le moins les communautés. A travers ces "petites histoires" nous recherchons nos aïeux (...)
"La géographie, ça sert d’abord à faire la guerre", tel était le titre d’un livre de Yves Lacoste publié chez Maspero en 1976. Lacoste créait cette année-là la revue Hérodote pour une géographie davantage géopolitique et qui s’adressait donc à tous. Faisons-nous de la géo-politique quand nous tentons de situer nos ancêtres dans l’espace géographique et temporel ? Je ne sais pas. Mais chaque généalogiste a pu constater que les lieux ne sont pas toujours faciles à identifier et, quelquefois, nos ancêtres se (...)