Ils sont arrivés avec leurs [ engins / camions / autos devenues] tout-terrain. Ils se sont installés, alignés, comme tous les [ militaires / touristes ] , dans leurs carrés [ réglementaires / piquetés ] de 7m sur 7. Le [ champ d’obus / champ de mines / champ libre ] les accueillit à fossés ouverts. Certains y stationnèrent quasi définitivement. Des [ chars d’assaut / tracteurs girobroyeurs ] étaient passés par là. Les véhicules [ de guerre / agricoles ] avaient laissés de profondes ornières. En haut du camp, le monument commémoratif des guerres passées dominait les drapeaux et les oriflammes des [ sections / compagnies / clubs ] .
Dès leur arrivée, un dimanche, ils allèrent au rassemblement et assistèrent à la [ montée des couleurs / cérémonie d’ouverture ] bien que sans sonorisation, ils ne purent guère entendre [ l’ordre de garde à vous / l’annonce de l’ouverture ] tant ils étaient nombreux. Toute la semaine, les [ convois / itinéraires de randonnées ] sillonnèrent la région selon les plans [ de guerre / d’exploration ] établis par [le poste de commandement / l’équipe des organisateurs ]. Chaque [ section / compagnie / club / groupe ] élaborait sa stratégie prévoyant tous les soirs les ravitaillements et les itinéraires tactiques .
La cérémonie finale les rassembla autour de leur hymne [ national / fédérateur ] et des discours officiels traditionnels avant qu’ils n’aillent partager les agapes du banquet traditionnel de clôture . Ils abandonnèrent alors le [ champ d’obus / champ de mines / champ libre ] à son sort sans doute militaire et regagnèrent leurs [ casernes / pénates ] eux, les [ soldats / militaires / combattants / cyclos ].
Note pour ceux qui auraient besoin de certitudes : l’auteur préfère toujours la dernière expression...