Dans une prochaine vie, papa, j’aimerai te reprendre comme père.
On a la chance d’avoir ce papa si extraordinaire.
Aimant et généreux, fort et dévoué. Un papa qui était gentil avec notre maman. Un papa qui aimait rire et s’amuser, privilégiant notre bonheur au sien même si notre bonheur était simple : être ensemble. Etre ensemble tous les 4, et maintenaqt tous les 6, à Broche ou à Teyssieu.
A Broche, où tu as grandi et où tu aimais venir te ressourcer les dimanches.
A Teyssieu où tu aimais venir les samedis donner un coup de main aux garçons.
Ces lieux, non loin de ta maison faisaient ton bonheur et le bonheur de maman.
On a la chance d’avoir notre papa comme exemple.
Tu aimais rendre service à tous ceux qui te le demandaient et tu savais répondre à toutes nos questions.
Tu étais un papa tantôt maçon (y-a-t-il plus bel ouvrage que notre maison construite avec tes mains ?), tu étais tantôt bricoleur, tantôt mécanicien, tantôt agriculteur et puis tu étais : routier.
Même si la vie t’avait parfois contraint à exercer d’autres métiers, tu étais revenu à ta première passion : les camions. Quelle fierté, papa de te voir conduire ces gros engins ! Tu nous épatez tellement !
Alors bien sûr aujourd’hui, notre peine est grande car on perd notre papa, cette personne à qui l’on pouvait demander n’importe quoi. Alors aujourd’hui, on te demande une dernière chose : repose-toi en paix, veille sur nous de là où tu es comme on veille sur notre maman chérie.
On t’aime notre petit papa.