Une pluie de météorites va illuminer le ciel de Thaïlande cette nuit

La pluie de météores des Léonides illuminera le ciel de Thaïlande à partir de minuit ce vendredi 17 novembre jusqu’au début de la matinée de samedi. L’Institut national de recherche astronomique de Thaïlande (NARIT) a invité les gens à garder un œil sur le ciel cette nuit pour assister à ce formidable spectacle céleste.

La très grande pluie aura lieu en 2033 puisque la comète Tempel-Tuttle passera en mai 2032. Elle est passée la dernière fois en 1999.

De "quoicoubeh" à "apanian" : ce que les néologismes des ados ont (quand même) de poétique

Quiconque a des enfants, croise un adolescent de temps à autre, ou dispose d’un accès à internet est entré en possession – à son corps le plus souvent défendant – d’au moins deux mots nouveaux au cours de l’année passée : « quoicoubeh », « apanian »... auxquels s’ajoute l’énigmatique question « t’as les cramptés ? ».

 Quoi ?
 couAcouB (ou quoicoubeh au choix)
 Hein ?
 Apanyae (ou apanian, au choix).

Aucun sens mais les ados s’en moquent. Après tout, dans les années 70 (ou 80, on ne sait plus), on entendait :
 Quoi ?
 Feur.

Et c’est la même chose ! ! !

Rentrée scolaire : L’école privée touche-t-elle 12 milliards d’argent public chaque année ?

Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT, a avancé sur le plateau de France 2 : « Le développement de l’enseignement privé est un problème dont le ministre de l’Education nationale devrait s’occuper. Il n’y a pas de laïcité et ici, visiblement, ça ne dérange personne. » Car selon le député de La France insoumise, Paul Vannier, les écoles privées se remplieraient les poches avec l’argent de l’Etat. « 12 milliards d’euros d’argent public financent l’école privée chaque année », a-t-il écrit sur X (anciennement Twitter). Qu’en est-il vraiment de ce financement ? 20 Minutes fait le point.

Je pensais que c’était fort possible et... fake off ! Qui parlait récemment d’une rentrée laïque ? Ah, bon, il y a deux vitesses ...!

Microbiote : des mythes à déconstruire

Ils sont des milliards à vivre sur notre peau, nos muqueuses et nos intestins, une cohabitation qui se déroule le plus souvent en bonne intelligence. Les micro-organismes qui composent notre microbiote, autrefois appelé “flore bactérienne”, font l’objet d’un fort intérêt scientifique. Des milliers d’études – et de fortes sommes d’argent public – leur ont été consacrées ces dernières années. Le rôle du microbiote a été mis en avant dans de nombreuses pathologies, allant de l’obésité à la dépression en passant par la maladie de Crohn, une pathologie inflammatoire de l’intestin.