Généalogie des MaLiBeLe
Les ancêtres ont fait ce que nous sommes. Mieux les connaître, c'est donc mieux nous connaître.
La citation du jour
Ni le soleil ni la mort ne se peuvent regarder en face.  (François de la Rochefoucault )
La réflexion du jour
La Saint Valentin est la fête des amoureux. Ne devrait-on donc montrer son amour que ce jour-là ?
Activités
bénévole - geek - cycliste (cyclotouriste) - généalogiste - photographe - collectionneur - écrivain - enseignant - Diverses informations
Les mots clés
Le monde de l’astronomie * le monde des associations * le monde agricole * le monde du langage * le monde de l’école * Le monde des sciences et de la vie
Lorand

Site personnel de Roland Bouat. Pour les curieux : Lorand est un anagramme de Roland.

Déblocage et nouvelle épine

Mots clés : généalogiste , 46-Miers , enquêter , épine généalogique

vendredi 27 mars 2015 , par Roland


Quand on pense avoir résolu une énigme, il finit presque toujours par en sortir une autre.

Aujourd’hui, je reçois une alerte basique de geneanet sur plusieurs des patronymes qui m’intéressent.

  • La première ne m’apporte toujours rien. Il faut dire que cette branche-là est bloquée très tôt à l’époque contemporaine ! Tout ça parce que je ne sais quasiment rien sur la grand-mère paternelle de mes petits enfants (non réponse à mes demandes d’informations). Une date de naissance (sans lieu de naissance) quelques années avant moi ne me permet pas de passer outre.
  • la deuxième porte sur un patronyme, BROUQUI, qui est maintenant familier pour moi dans un des lieux que je peux considérer comme l’un des berceaux familiaux : Miers dans le Lot.
  • Et je ne suis pas allé plus loin aujourd’hui malgré les trois autres patronymes présents dans l’alerte : CARRIERE, DECROS et LASFARGUES. On verra plus tard.

Un seul résultat mais avec des familles que je connais

En particulier, le couple Pierre BROUQUI X Catherine RAPATEL fait partie de ceux qui me permettent d’exister : des ancêtres directs. Je vérifie donc les données. Tout de suite, je passe à leur fils Jean. Pour moi, c’est le frère d’Antoine, mon ancêtre mais je ne sais presque rien sur lui.

Immédiatement, c’est le nom de son épouse, Sophie PEDAMOND, qui me dit quelque chose. Je vérifie qu’elle n’existe pas déjà parmi mes presque dix mille individus et je l’ajoute donc avant de rechercher pourquoi ce nom me parle.

Et c’est l’arbre affiché qui va complètement réorienter mes recherches du jour. E oui, fonctionnant au “feeling†, il m’arrive d’abandonner ma recherche en cours pour passer à une autre, brutalement, sans être très rationnel. Mais c’est aussi ça la recherche généalogique.

Un couple d’ancêtres de Sophie fait partie de mes ancêtres : Géraud BENNE et Hélène GISCARD, j’en suis certain. Je vérifie aussitôt. Je n’ai aucun ancêtre pour ni pour Géraud ni pour Hélène. Fouchtra (le pseudo geneanet de Gérard Delprat) lui non plus n’en a pas pour Hélène mais, du côté de Géraud, il a deux générations d’ancêtres. Et voilà un blocage qui saute.

Ce matin, j’ai donc ajouté six ancêtres à ma branche :

  • Jean Guillaume†BENNE & Jeanne LABORIE
  • Jean BENNE & Catherine VARENNES
  • Géraud LABORIE & Guiraude BATUT

Il ne me reste plus qu’à faire les vérifications... Pour y parvenir rapidement, il ne va pas falloir que je me laisse emporter par une nouvelle découverte.

Je commence tout de suite et ça commence mal : rien à la date indiquée sur les registres ! Une nouvelle épine peut-être...

Et puis la vie réelle reprend sa place : ce sera pour plus tard