Généalogie des MaLiBeLe
Les ancêtres ont fait ce que nous sommes. Mieux les connaître, c'est donc mieux nous connaître.
La citation du jour
Si tu diffères de moi, mon frère, loin de me léser, tu m’enrichis.  (Antoine de Saint-Exupéry )
La réflexion du jour
Aimer c'est d'abord accepter : la meilleure façon de détester c'est donc de s'imposer à l'autre.
Activités
bénévole - geek - cycliste (cyclotouriste) - généalogiste - photographe - collectionneur - écrivain - enseignant - Diverses informations
Les mots clés
Le monde de l’astronomie * le monde des associations * le monde agricole * le monde du langage * le monde de l’école * Le monde des sciences et de la vie
Lorand

Site personnel de Roland Bouat. Pour les curieux : Lorand est un anagramme de Roland.

j’ai fini par trouver... enfin ! Mais mes états d’âme en ont pris un coup ! J’ai failli abandonner : trop de temps passé, trop de concordances ou pas assez, données douteuses ou suspectes, intérêt faible voire inutilité de ces recherches... Les enquêtes s’enchaînent, se télescopent, se contredisent puis, quelquefois (souvent) finissent pas s’accorder pour délivrer des données fiables ou par ne jamais converger et installer un doute certain (un peu plus facile quand elles s’opposent... s’il n’y a pas de choix à faire !)

Qui ?

Nos ancêtres ne savaient pas qu’un jour quelques hurluberlus un peu illuminés s’intéresseraient à leur(s) vie(s). Ils n’ont jamais cherché à laisser des traces alors que tout le monde sait que le temps qui s’écoule les efface peu à peu.

Quoi ?

Faire des recherches généalogiques, c’est accepter de passer beaucoup de temps en recherches généalogiques. Ces enquêtes s’enchaînent les unes derrière les autres. L’une ne chasse pas l’autre puisque l’une en amène d’autres. Les généalogistes sont sur la piste semée de maigres indices pour découvrir ce qui a amené nos ancêtres au point où nous en sommes.

Où ?

Partout. Dans les archives bien sûr mais aussi dans les mémoires et dans les documentaires. Maintenant s’y ajoutent les découvertes des autres qu’ils partagent sur l’Internet. Et puis, il y a ces lieux insolites comme la page d’un dictionnaire remis en prix ou un livre terrier à déchiffrer patiemment.

Quand ?

Selon les moments, cela peut être quotidien ou occasionnel. Le temps disponible joue aussi beaucoup mais c’est le temps de nos ancêtres qui nous joue quelquefois des tours. Temps incertain ou temps approximatif (le mot environ est très souvent associé à l’âge), mémoire défaillante ou qui enjolive. Communication difficile entre pratiques langagières différentes.

Comment ?

La prise de notes est l’outil le plus fréquemment utilisé mais d’autres outils sont bien utiles comme les cartes géographiques récentes et anciennes, la comparaison des lignes de vie et les échelles de temps, les références précises des sources facilitées par les liens vers les documents mis en ligne, la comparaison avec les découvertes des autres généalogistes...

En doutant de tout, toujours, tout le temps parce que le doute est la seule certitude qu’ont les chercheurs.

Pourquoi ?

Tout chercheur devrait être obnubilé par l’obtention la plus précise possible des données concernant nos ancêtres mais aussi par la preuve. Bien trop souvent, nous déduisons et considérons que le fait est accompli. Un écrivain et critique français, Nicolas Boileau, disait "cent fois sur le métier remettez votre ouvrage". Il visait à s’approcher de la perfection afin de briller ou d’être excellent mais aussi à être le plus précis possible pour éviter erreurs, confusions et approximations.

Parce que nos ancêtres qui ont fait que nous sommes là méritent au moins cette marque de respect.


Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Ce formulaire accepte les raccourcis SPIP [->url] {{gras}} {italique} <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.